lundi 24 mai 2010

oth

Tous les jours, on ignore à quel point ce monde est brisé. Et on se dit que tout ira bien, "ça va aller". Mais ça ne va pas. Et une fois qu'on sait ça, on ne peut pas revenir en arrière. Il n'y pas de magie dans ce monde. Du moins, pas aujourd'hui.

Je pensais à la finalité de tout ça, comment quelqu'un peut quitter ce monde en un clin d'oeil, et être partit pour toujours.. c'est trop énorme pour y penser. C'est trop dur. Et ensuite on est censé continuer, c'est ça? Dans le genre, faut vivre avec. Enfin, on est censé être triste tant que les fleurs sont belles, et ensuite, on recommence à raconter des blagues et on se souvient du bon vieux temps. Je n'ai pas de blague à raconter. Et en fait, j'espère ne plus jamais entendre une blague de ma vie. Et le bon vieux temps, c'est juste ça. Des vieux moments qui sont passés...

Je dois me dire d'être heureuse, mais Je ne suis pas heureuse et quand j'essaie de l'être, quand j'essaie de me rappeler ce que ça fait d'être heureuse. Je n'y arrive pas. Je ne ressens pas de joie, je ne suis pas inspirée. Je me sens détachée.

mercredi 21 avril 2010



Ça me rendra folle, tout ça. La chose que tu n'arrives décidément véritablement pas à comprendre, c'est que je suis aussi folle de toi. J'ai des réactions, des attitudes qui te dérange, que tu ne saisis pas. Tu crois que c'est toi le fautif, tu me pousses à bout pour me l'entendre dire, alors que non, tu n'as rien avoir dedans. Enfin si, mais pas de la manière dont tu le penses. J'arrive pas à m'habituer à ces choses que tu as mis peu à peu dans mon coeur depuis plus cinq mois. Ouais, je suis terrorisé à l'idée d'aimer, d'aimer trop. J'essaie de me protéger, de faire une espèce de carapace. Inconsciemment je me dis que si je suis distante, tu n'arriveras pas à me toucher. Je suis l'exact contraire de toi, et c'est pour ça que tu ne comprends pas quand je ne fais pas telle ou telle chose qui t'aurais sembler évidente. Je suis pas du genre romantique, j'ai horreur de ça. Je ne vais pas toujours être aux petits soins. Je suis du genre lunatique, c'est un jour oui, un jour non. Je sais bien que ça doit être loin d'être facile pour toi. Je ne sais pas si il y a moyen de faire un effort là dessus, c'est trop ancré en moi, c'est moi. Soit tu l'acceptes, soit pas.
Tu me prends avec mes sauts d'humeurs, ou tu ne me prends pas. Oui, je t'impose ça. C'est horrible? Je sais. Nonobstant tout ce qui arrive, je n'arrive pas à me défaire de toi. Tu as des discours qui ont l'art de me mettre hors de moi, c'est des choses que je n'arrive pas à entendre. Tu me culpabilises, tu me fais du chantage sur ta vie. Je dois faire quoi moi? La prochaine fois qu'il y a des choses qui ne vont pas, je dois fermer ma gueule et subir, parce que j'aurai peur de dire un mot de trop et de te savoir mort le jour d'après? Tu me fais tellement peur. Putain, j'ai pas envie que tu fasses une connerie, c'est trop con. Il y a encore trop, trop de choses à vivre. Des joies, des peines. Mais là est toute la beauté de la vie. Celle que tu ne veux pas encore acceptée. A partir de ce jour, je vais me réveiller avec une nouvelle peur chaque matin. Seras-tu encore là aujourd'hui? Je n'ai aucune envie que tu me quittes, dans tous les sens du terme. Tu bousille ta vie, tu bousilles la mienne par la même occasion. Subséquemment, ça nous laisse je ne sais où, un pas dehors; un pas dedans. On divague, on tombe, on se relève? Et après on va où?
Je suis incapable de me mettre à travailler. J'ai évidemment trop de choses en tête. J'ai pas envie qu'on arrête, c'était si bien partit. 5 mois merveilleux. Mais ces jours-ci, j'ai pas aimé tes réactions, tes discours, tes paroles, tes mots. Je vais te le dire honnêtement, ils m'ont déçus. Je m'attendais pas à ça de toi. Je peux pas te citer exactement ce que tu m'a dis, mais ça m'a choqué. Ta façon de me faire du chantage sur des choses tellement grave. On joue pas avec ça. Tes mots ont du poids, beaucoup. Je pense que tu ne prends pas conscience que l'impact qu'ils ont. Tu sais que, dorénavant, si j'en vient à ne plus être bien avec toi, que les sentiments s'effacent, je serai forcé de rester avec toi. Je n'oserai même plus t'en parler. Parce que je n'aurai pas envie le moins du monde que "tu te plaques", comme tu dis.
C'est horrible, la situation dans laquelle tu nous mets. Je flippe, parce que j'ai peur que tu interprètes mal une de mes phrases et que tu y passes. Tu as vu à quoi ça mène? Je suis tellement triste, déçue, mal, que maintenant ça va être comme ça. Putain. Je tiens trop à toi, mon amour. J'ai l'impression que l'on est plus sur la même longueur d'onde, que tu sais, on a pris des chemins différents. J'espère qu'ils se rejoigneront bientôt. Cet amour qui me tue et me fait vivre, cet amour qui m'anime et me détruit.
C'est l'impossibilité qui fait tomber, c'est la fascination qui nourrit l'amour.
Parce que tu vois, j'avais bêtement pensé que l'on pourrait tout faire ensemble, oui, j'y avais vraiment cru. Je croyais qu'une sensation en serait volontiers devenue une autre juste parce que tu aurais été là, que tu aurais donné du sens à toutes les choses qui n'avaient pas encore, et qu'aussi, tout aurait semblé simple et évident. Tes mots de tout à l'heure résonnent encore dans ma tête, comme un vieux refrain dont on ne peut se détacher. Et je me torture car tu es tombé. Je ne t'ai pas relevé.



" Y a des sourires et des soupires, y a des fou rires à en mourir
On peut s'ouvrir et s'en rougir, déjà se nourrir de nos souvenirs
Les pièges de l'avenir nous attendent, mais on n'a pas peur d'eux
Moi si un jour j'suis un couple, je voudrais être nous deux "

- Comme une évidence.

lundi 8 février 2010

lettre

Some people live a hundred years without really living a day. Climb up there now and that's one minutes less you haven't lived.


J’adore que tu aies le nez qui coule quand il fait 22 degrés, j’adore que tu mettes une heure et demie pour commander un sandwich, j’adore la petite ride que tu as là quand tu me regardes comme si j’étais un dingue, j’adore qu’après avoir passé la journée avec toi, j’ai les vêtements tout parfumés par ton odeur et j’adore que tu sois la dernière personne à laquelle j’ai envie de parler avant de mettre au lit.


j'ai beaucoup pleuré, moi qui pleurait si peu, avant, comme si je n'avais pas de larmes.

Notre première discussion qui a duré toute la nuit, mes mains glacées dans les tiennes, notre premier baiser.


Pourtant j'aime te retrouvé dans cette simplicité là


On a encore trop de moments à consumé


C'est con ,comme je t'aime ,comme tu me manques dés que tu pars et encore plus con comme j'ai eu du mal à me l'avouer.

Amoureuse ,moi ?


& On ira cracher nos souhaits.


J'aimerais écrire des mots d'amour
Parce que parler c'est pas mon fort.


Je te dois mes premiers frissons





jeudi 26 novembre 2009

. ARGENT

• BRUSSEL 4 PARTY : 5€
• TOURS & TAXIS : 10€
• TEE SHIRT JM : 15€
• LES TRANSARDENTES : 40€
• NOUVEL AN PARIS : 50€
• PARIS - JANVIER : 50€

Total : 170€

+ Budget vacances : 60€


- Argent de poche décembre : 40€
- Argent de noel : 150€
- Argent de poche janvier : 40€

samedi 21 novembre 2009

Je sais plus.

Je ne sais plus si j'ai mal ou si c'est l'habitude, d'être toujours celle qui chiale et qui se prend tous les murs. Je ne sais plus si j'ai froid ou si c'est le vide qui me glace les os et puis les doigts quand ça devient trop dégueulasse. Je ne sais plus si je rêve encore ou si les songes mêmes sont morts.
Je ne sais plus si je t'attends ou si je fais juste semblant. Je sais plus si je veux mourir ou si je veux croire toutes ces conneries que je me raconte pour dormir et sortir de mon lit.
Je ne sais plus si je cicatrise ou si je pisse encore le sang. Si je suis moi, si je me déguise, si je voudrais encore un enfant. Je ne sais plus si je suis foutue ou si je vis effrontément.
Suis-je malheureuse ? Je ne sais même plus. Si je recule ou vais de l'avant. Je ne sais plus si c'est ta voix qui me donne la nausée au réveil ou si c'est le gris au-dessus des toits. Et si c'est le gris c'est pas pareil. Je ne sais plus si j'ai peur ou si je ne crois plus en rien. Si mes larmes coulent sur ton cœur, si mes rires brûlent dans tes mains. Je ne sais plus si c'est normal d'avoir le cœur trop haut qui se soulève dans mes entrailles et bousille mon cerveau. Je ne sais plus si je suis trop moche ou si c'est ce foutu miroir qui me brise en morceaux et m'écorche, l'estime et le regard.
Je ne sais plus si sur ta langue il te reste un peu de mon amertume. Si je coule ou si je tangue entre la mer et l'écume..

dimanche 18 octobre 2009

Liste 18/10/2009

A acheter

Blouson noir (99€) (Laredoute)
Gilet Anthracite (19€) (Laredoute)
Gilet homme noir (19€) (H&M)
Vernis (4,50€) (Malava)

A trouver

Echarpe col gris (20€)
Veste "Costard" noir (40€)
Sac noir (25€)

A faire

Wii Fit 3x par semaine
• A récolter : 150€
• Commencer le TFE
• 20 abdos tous les soirs
• Soins de la peau
• Me couper les cheveux
• Récupérer le sac
10€ Mathilde

dimanche 4 octobre 2009

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Il m'a répondu.